Malgré l’opposition quasi-unanime de la communauté éducative, et avec une obstination coupable, le ministre annonce maintenir les épreuves de spécialités du baccalauréat au mois de mars... Avec quelques allègements qui seront annoncés un mois après le début des cours (aurez-vous travaillé « pour rien » en septembre ? Suspense...). Il annonce aussi, implicitement, qu’il n’a que faire des problèmes posés par les épreuves anticipées de Français, en 1re.
Un choix méprisant pour les personnels, et un choix désastreux pour la formation des élèves, comme la session 2022 l’a déjà démontré.
Les analyses du Snes-Fsu dans cet article.
https://www.snes.edu/article/calendrier-du-baccalaureat-2023-un-coupable-entetement/
L’affiche réalisée à partir de l’article national, à diffuser dans les lycées.